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Une école de l'Université de Lorraine

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Actualités

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Aotmane EN NACIRI est le nouveau directeur du LCP-A2MC depuis le 1er janvier 2024.

Professeur à l'IUT de Metz, il succède à Olivier PAGES.

 


 

 

 

MassLor est une Infrastructure de Recherche en Spectrométrie de Masse qui propose son expertise et son savoir-faire à des partenaires académiques et industriels sous la forme de prestations de service, de contrats et de projets de recherche. 
Dans le cadre de sa labellisation Star-LUE Factuel est allé à la rencontre de cette plateforme de recherche pour en savoir plus.


Nous avons appris le décès subit d’un éminent membre de notre communauté, M. Jean-François Muller, Professeur Emérite de l’Université de Metz, puis à l’Université de Lorraine, survenu à Metz le 13 janvier 2024.

Né le 1er juin 1940 à Lyon, M. Jean-François Muller a fait ses études à Autun, puis au Collège Stanislas de Paris, avant d’intégrer l’Ecole Nationale de Chimie de Strasbourg. Diplômé en 1965, il intègre la Faculté des Sciences de l’Université de Metz à sa création en 1970, en tant que Maître Assistant en chimie organique. Il y prépare son doctorat d’État ès sciences Physique portant sur la cyclisation en péri en série naphtalénique et benzo(b)thiophénique. Après un premier post-doc à l’Université de Bâle (Suisse) en chimie-physique (1974-1975), puis un second en photochimie à l’Université d’Utah (USA) (1976-1977), il se spécialise et s’engage dans le développement de la spectrométrie de masse en France.

Jean-François Muller implante cette technique à l’Université de Metz dès 1981 avec l’acquisition de la première microsonde laser associée à un spectromètre de masse à temps de vol (LAMMA-500) en France. Nommé Professeur en 1983, il crée le Laboratoire de Spectrométrie de Masse et de Chimie Laser à l’Université de Metz en 1984. La nécessité d’augmenter la résolution en masse a tout de suite suscité son intérêt pour la spectrométrie de masse à résonnance cyclotronique des ions à transformée de Fourier. Il installe dans son laboratoire avec l’aide de Gabriel Krier, l’un des deux premiers FT ICR-MS en France en février1985. Avec la société Nicolet, ils développent une nouvelle interface laser pour réaliser des analyses en mode microsonde. Une première publication dans Rapid Communication in Mass Spectrometry en 1988 a constitué le point de départ de nombreux travaux sur l’étude de la désorption/ionisation laser de composés organiques et inorganiques. Jean-François a toujours associé dans ses travaux de recherche les volets instrumentaux, fondamentaux et appliqués.

Ainsi, passionné d’enseignement et de recherche, il a dirigé une cinquantaine de thèses de doctorat et est l’auteur de près de deux cents publications. Il a participé et organisé plusieurs congrès scientifiques nationaux et internationaux notamment le premier European Workshop on FTMS à Metz en 1985, les Journées Françaises de Spectrométrie de Masse à Metz en 1992 et le quatrième European Workshop on FTMS à Pont-à-Mousson en 1997. Il a également été très actif au sein de la communauté de spectrométrie de masse en France, il a été en effet l’un des membres fondateurs de la SFSM et plusieurs fois membre de son conseil d’administration. Soucieux de faire partager et transmettre ses connaissances, il a donné de nombreux cours dans les écoles thématiques organisée sous l’égide de la SFSM (Garchy, Luminy, Ecoles de Printemps de la SFSM, Ecoles thématiques FTMS).

Toujours soucieux d’être à la pointe de la technologie, il a réussi à implanter dans son laboratoire les équipements analytiques les plus performants du moment. Avec son équipe, il a eu le souci de les adapter à ses recherches grâce à de nombreux développements instrumentaux. Il est l’auteur de quatre brevets d’invention dans le domaine de l’instrumentation scientifique et plus particulièrement de la désorption/ionisation par laser.

Spécialiste reconnu au niveau international, il a développé de nombreuses recherches en partenariat avec des organismes publics (Universités, CNRS, CEA, INRA, EDF, La Ligue contre le Cancer, le Centre Alexis Vautrin,…) et avec l’industrie (Sollac, Usinor-Sacilor, Arcelor-Mittal, Dupont de Nemours, TOTAL, LECES, Essilor, Italcimenti, Nestlé,…) dans des domaines très variés tels que l’analyse de particules environnementales, de micropolluants, de composés biologiques, de polymères, de nanomatériaux, de produits pétroliers, de catalyseurs…

Professeur Emérite depuis 2006, le laboratoire qu’il a créé intègre en 2011 le LCP-A2MC (Laboratoire de Chimie Physique, Approche Multi-échelles des Milieux Complexes) situé au Technopôle de Metz.

Jean-François Muller était co-responsable et co-fondateur du Réseau Européen de Recherche et de Formation de doctorants.

Il était membre de la Société Chimique de France, de la Société Française de Spectrométrie de Masse, de l’American Chemical Society, de l’Académie Lorraine des Sciences et de l’Association de Professeurs Emérites de Lorraine. Membre de l’Académie Nationale de Metz, il en a successivement été Président et Membre honoraire.

Il a été également adjoint au Maire de Metz, Jean-Marie Rausch, de 1995 à 2008, conseiller à la Communauté d’Agglomération de Metz Métropole de 2001 à 2008, membre du Conseil d’Administration de Haganis et du Comité Régional d’Orientation de l’ADEME.

Il était Chevalier de l’Ordre National du Mérite et Chevalier des Palmes Académiques.

Il a toujours eu à cœur d’enseigner sa discipline avec enthousiasme et de transmettre sa passion pour la recherche. Il avait d’ailleurs gardé de nombreuses relations amicales avec ses anciens collègues et étudiants.

Il laissera le souvenir d’un homme d’une très grande culture scientifique, précurseur, généreux, optimiste et très empathique.

Nous présentons nos sincères condoléances à son épouse Danielle, à ses enfants Olivier et Christine, à ses petits-enfants et à toute sa famille.
 

Toute l'équipe de spectrométrie de masse


Nathan Traullé est diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Lille en 2021. Il y a notamment étudié les procédés de conversion de la biomasse, les (bio)polymères et s’est intéressé à l’analyse des produits liés à ces industries. Il a effectué son stage de 6 mois au sein de Veolia recherche et innovation où il a réalisé l’analyse non-ciblée quantitative et semi-quantitative des additifs et contaminants extraits de plastiques usagés et recyclés mécaniquement. Il s’est focalisé plus particulièrement sur l’analyse des composés organiques volatils (COV) par thermo désorption-GC-MS.

En 2022, il a étudié pendant 1 an au sein d’IFP Energies Nouvelles les composés azotés présents dans les huiles de pyrolyse de plastiques et de pneus issus du procédé d’upgrading. La GCxGC-HRMS, GCxGC-NCD et FT-ICR MS ont été employées pour quantifier les espèces azotées dans les huiles avant et après traitement, et mettre en évidence les espèces réfractaires au procédé.

Nathan rejoint aujourd’hui le projet REALYTIC (ANR) au sein du laboratoire LCP-A2MC de l’Université de Lorraine en tant que doctorant. Sous la direction du Pr. Aubriet et du Pr. Carré du LCP-A2MC et en collaboration avec le Dr. Dufour du LRGP, il est chargé de la fiabilisation d’une nouvelle sonde DIP (Direct Probe) qui, couplée à la très haute résolution, permet l’analyse en ligne des produits issus de la pyrolyse rapide de biomasse. Ce projet doit permettre à terme l’évaluation des performances de nombreux catalyseurs à même de convertir les produits de pyrolyse de la biomasse en biocarburants ou en molécules utilisables par les industries chimiques.



Toutes nos félicitations à Patrick KFOURY, doctorant au LCP-A2MC, qui a été distingué pour son poster lors de l'école thémathique ERIN² du C'Nano en juillet dernier.

Pour le prix poster nous avons pu féliciter chaleureusement :

Marie FINAS (CEA – NIMBE/LEDNA)
« Nanodiamond band gap engineering for visible range photocatalysis »

Patrick KFOURY (Université de Lorraine – LCP-A2MC)
« realtime spectroscopic ellipsometry of plasmonic Nanoparticles growth in Polyvinyl Alcohol thin films »

En plus de nous avoir offert leur enthousiasme, leur humour et leur intelligence toute cette semaine (ce qui ne donne pas lieu à un prix malheureusement), ils ont su convaincre le jury à l’unanimité grâce à la fluidité de leur présentation.

https://cnano.fr/2023/09/retour-ecole-residentielle-2023/



J’ai à cœur de dire quelques mots pour rendre hommage à Benoit en tant que directeur du laboratoire de recherche au sein duquel Benoit exerçait. Lui et moi faisions partie de la même équipe de physique de l’Unité, ce qui m’aide à cerner un peu le contenu de ses activités de recherche, dont je voudrais qu’il soit question ici. Tout simplement parce qu’elles représentaient une grande partie de la vie de Benoit, je crois. De fait, Benoit a maintenu une production scientifique régulière de haut niveau tout au long de sa carrière, et cela jusqu’à présent, malgré divers revers de fortune et de graves problèmes de santé survenus ces dix dernières années.

Manifestement Benoit n’était pas carriériste. A ma connaissance il n’a jamais brigué aucune responsabilité, ni administrative, ni politique, ni pédagogique, ni scientifique, pourtant bien appréciées dans les dossiers d’avancement. On peut bien se demander, alors, ce qui poussait Benoit, quelle était la force motrice qui l’animait et l’amenait à passer ses journées la plupart du temps seul dans un bureau austère en face de son écran d’ordinateur pour faire avancer un axe de recherche quasi incommunicable aux non initiés, avec lui-même pour seul spectateur de sa propre progression au jour le jour ?

Il faut brièvement retracer son parcours pour avoir quelques éléments de réponse. De ce que je sais, Benoit était un pur produit du système académique : Etudes supérieures de physique débutées à l’Université de Metz, tout juste naissante alors, suivies d’une licence de physique, d’une maîtrise de Physique puis d’un DEA de Physique nucléaire à l’Université de Strasbourg où il a obtenu son doctorat dans la même discipline, physique nucléaire donc, avant d’être recruté à l’Université de Metz en tant qu’enseignant-chercheur en 1994. Au sortir de son doctorat, Benoit a le profil d’un théoricien en physique nucléaire.

Son rôle, en tant que physicien, est de « mettre un peu d’ordre dans la nature », en s’attachant pour cela, en tant que théoricien, à produire des modèles de comportement qui s’accordent à la réalité, éprouvée par l’expérience, menée à l’échelle sub-atomique dans le cas de la physique nucléaire. Tout cela ouvre un espace privilégié pour l’imagination et la créativité.

En début de carrière, Benoit s’amusait de ses publications de thèse avec plusieurs dizaines de co-auteurs, typiques du domaine de la physique nucléaire impliquant des expériences sur les grands instruments de recherche nationaux, des accélérateurs de particules, où se côtoient chercheurs expérimentateurs et théoriciens en charge de l’acquisition et du traitement des données ainsi qu’ingénieurs et techniciens plus spécifiquement en charge de la mise en place et du développement du dispositif. Ainsi, d’emblée Benoit a été plongé dans l’ivresse des grands projets scientifiques collectifs, portant sur la structure des atomes dans son cas.

En arrivant à Metz, plus d’accélérateurs de particules mais des expériences sur site de transport électronique réalisées sur des alliages métalliques liquides, qui font passer Benoit de l’échelle sub-atomique à l’échelle supra-atomique. Il se transforme alors en physicien théoricien de la matière condensée.

Les alliages métalliques liquides que Benoit étudie désormais à Metz sont parmi les plus simples des systèmes complexes que l’on puisse imaginer : de simples atomes, de deux ou trois variétés seulement, qui baignent au sein d’une même « soupe » liquide. Ces « soupes atomiques » constituent un terrain de jeu privilégié pour les physiciens, car, du fait de la simplicité de leurs constituants élémentaires – de simples atomes – et de leurs interactions, elles se prêtent naturellement à une modélisation rigoureuse impliquant peu de paramètres ajustables, donc riches de sens. Cela donne l’impression de pouvoir bien comprendre les choses, de toucher à la réalité, de la capturer.

L’infrastructure expérimentale à Metz étant bien moins lourde qu’à Strasbourg – mais pas moins informative – le nombre de co-auteurs dans les publications scientifiques chute considérablement ; la visibilité scientifique de Benoit croit en rapport inverse.

Peu après sa première alerte cardiaque, Benoit finit par s’affranchir totalement de l’expérience sur site, et dès à partir de 2016, il commence à travailler seul sur un thème de recherche qui lui est tout à fait propre qu’il s’est lui-même défini / taillé sur mesure. Les données expérimentales, Benoit va les chercher dans la littérature, abondante dans le domaine. C’est à partir de là, à mon sens du moins, que Benoit s’épanouit totalement.

Son ambition est de mettre en place un nouveau traitement théorique des mesures de diffusion inélastique de rayons X et de neutrons, réalisées sur les grands instruments nationaux, pour élucider si le mélange des atomes au sein d’une « soupe atomique » donnée est idéalement aléatoire, ou bien en fait non aléatoire, gouverné par des tendances à la ségrégation ou au contraire à la dispersion des espèces. C’est la question immédiate que l’on peut se poser en mélangeant des billes blanches et noires, par exemple. Est-ce que les billes se distribuent au hazard, ou bien se repoussent-elles jusqu’à la démixtion – blanc d’un côté et noir de l’autre, ou au contraire s’attirent-elles mutuellement, en une fine alternance ?

Les physiciens de la matière condensée s’intéressent à ce type de questions simples, voire naïves. Néanmoins, la réponse à cette « question simple » touchant à la structure des alliages atomiques à deux constituants (blancs et noirs), aura nécessité de la part de Benoit la mise au point d’un modèle physique extrêmement sophistiqué s’appliquant sur des données expérimentales elles-mêmes très difficiles à obtenir sur grands instruments. Ce modèle est son chef d’œuvre en quelque sorte, publié seul en 2018. Cette avancée majeure/brillante aura valu à Benoit d’être distingué par l’Agence Nationale d’Evaluation de la Recherche lors de la précédente expertise de notre laboratoire. Ladite Agence identifiera l’activité scientifique de Benoit comme étant « de tout premier plan », noir sur blanc.

Ces dernières années, Benoit « surfait sur sa propre vague » et s’attachait à étendre son modèle à des ensembles de billes toujours plus complexes. D’abord à trois espèces/couleurs, avec deux articles consécutifs parus en 2019 et 2021. Il avait récemment posé les jalons pour un système de billes à quatre espèces/couleurs, avec un premier article publié l’année dernière (2022), un autre restant à venir possiblement cette fin d’année ou en 2024 (?) L’article de Benoit ne paraîtra pas finalement, mais la recherche de Benoit lui survit ; un autre physicien pourra s’en emparer demain ou dans dix ans pour avancer encore… Les jalons sont posés.

Quel intérêt, au fond, que ces ensembles de billes ?

On peut citer Claude Lévi-Strauss, anthropologue, qui écrivait dans La Pensée Sauvage (1962),
« … l’exigence d’organisation est un besoin commun à l’art et à la science, et … par voie de conséquence … la mise en ordre possède une éminente valeur esthétique. » Voilà possiblement une partie de la réponse à la question originale posée au début de cet hommage quant à la force motrice qui animait Benoit dans sa recherche. Au fond, Benoit était un esthète – de cela je suis sûr; la compréhension raisonnée de la nature l’émerveillait !

Olivier Pagès

Directeur du laboratoire lcp-a2mc


Thierry ZIMNY, professeur à l'IUT de Saint-Avold, explique l'enjeu de l'hydrogène.


 

Chères et chers collègues,

 
Après des mois d’accalmie, nous sommes face à une résurgence de la contamination "COVID-19" : le taux d'incidence (nombre de cas sur 7 jours pour 100.000 habitants) est en augmentation ces derniers jours (supérieur à 400 pour chaque département lorrain - source : data.gouv.fr),
Ces données chiffrées nous appellent à redoubler de vigilance individuelle et collective afin de limiter la circulation du virus.

 

Port du masque :
Le port du masque n’est plus obligatoire en milieu universitaire, ni pour les personnels, ni pour les étudiants. Ceci ne fait bien entendu pas obstacle à ce que les étudiants ou les personnels, qui le souhaitent, le portent.
Il demeure fortement recommandé :
- dans les lieux clos ou de grande promiscuité (les transports par exemple),
- dans les lieux clos mal aérés et/ou mal ventilés
- en présence de personnes âgées, immunodéprimées, malades chroniques et fragiles ;
Pour mémoire, le magasin (DLI) possède un stock de masques chirurgicaux destiné à faire face à une éventuelle alerte.
A ce jour, il n'est pas prévu de distribution massive de masques en directions des agents et des étudiants. Néanmoins, si des agents fragiles ont des besoins spécifiques pour s’équiper, je les invite à se rapprocher de leur direction qui pourra solliciter le magasin central (DLI).
 
Test/dépistage :
Toute personne présentant des symptômes évocateurs d’une infection à la Covid-19, est invité à s'isoler et à réaliser un dépistage avant de venir sur un site universitaire ou rencontrer des personnes.
Pour les personnes positives disposant d’un schéma vaccinal complet et à jour : l’isolement est d’une durée de 7 jours (pleins) à compter de la date du début des symptômes ou de la date du prélèvement du test positif.

Toutefois, au bout de 5 jours, la personne positive peut sortir de l’isolement à deux conditions :
- elle effectue un test antigénique ou RT-PCR et celui-ci est négatif ;
- elle n’a plus de signes cliniques d’infection depuis 48h.

Si le test réalisé est positif ou si la personne ne réalise pas de test, son isolement est maintenu à 7 jours. Elle ne réalise pas un second test à J7.
Pour les personnes positives ayant un schéma vaccinal incomplet et pour les personnes non- vaccinées : l’isolement est de 10 jours (pleins) à compter de la date du début des symptômes ou de la date du prélèvement du test positif.
 
Le respect des gestes barrières (port du masque et mesures d’hygiène) est à respecter les 7 jours suivant la sortie d’isolement du cas positif.
 
Mesures de prévention (rappel) :
Il demeure recommandé un lavage régulier des mains ou la mise à disposition de solutions hydroalcooliques, une aération régulière des locaux (10 minutes toutes les heures).
C'est pourquoi, j'invite les responsables administratifs et techniques de chaque entité à :
- veiller au bon fonctionnement des distributeurs de gel (en les nettoyant régulièrement), de veiller à leur réapprovisionnement en n'hésitant pas à redemander au magasin (DLI) des bidons de gel en cas de besoins,
- de recourir à des capteurs de CO2 afin de monitorer un renouvellement optimal de l’air (le seuil de 800 ppm doit conduire à agir en termes d’aération/renouvellement d’air),
- de vérifier le bon fonctionnement et l’entretien des systèmes de ventilation mécanique.

 

Pour toutes informations complémentaires : https://factuel.univ-lorraine.fr/node/20626
 

Comptant sur chacune et chacun d'entre vous, avec mes meilleures salutations,

 

Hélène Boulanger

Présidente de l'Université de Lorraine

 


Fête de la science les 13-14-15 octobre 

 

>> Animations, conférences, expos et visites <<


 

Chères et chers collègues,

Nous connaissons depuis quelques jours une reprise significative de l'épidémie de Covid. Il est nécessaire que nous nous efforcions toutes et tous de ralentir la transmission de ce virus, pour notre propre santé bien évidemment, pour les personnes les plus fragiles et pour nos aînés mais aussi par solidarité avec les hôpitaux qui sont déjà en grande difficulté du fait d'un manque important de personnels soignants. 

 

J'en appelle à chacune et chacun d'entre vous pour prendre toutes les mesures qui vous apparaissent appropriées de manière à ralentir la progression de l'épidémie. Notamment, je vous invite à :

  • assurer une bonne hygiène des mains par un lavage régulier à l'eau et au savon pendant au moins 30 secondes, ou en utilisant du gel hydro alcoolique ;
  • porter à nouveau le masque dans les lieux clos qui sont mal ventilés ainsi que dans toutes les occasions où la densité de personnes est importante.

Les conduites à tenir en cas d'exposition au virus ou d'apparition de symptômes sont détaillées ici : https://factuel.univ-lorraine.fr/node/20626

 

Nous nous préparons à effectuer une rentrée dans des conditions normales et rien ne permet aujourd'hui de penser que cela ne sera pas le cas.

 

Comptant sur chacune et chacun d'entre vous,

 

Avec mes meilleures salutations,

 
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Hélène Boulanger
Présidente 

 

Université de Lorraine


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